•  

    Le JDN Economie a étudié les budgets de personnel des grands ministères pour déterminer quels étaient les agents dont on pouvait penser qu'ils avaient gagné ou perdu du pouvoir d'achat. Premier budget de personnel, l'Education nationale avec 29,6 milliards d'euros consacrés à la paie de 1,13 millions d'agents dont 85% occupés au seul enseignement scolaire, c'est-à-dire avant le bac. Entre 2002 et 2005, le salaire moyen distribué aux agents de ce ministère a baissé de 1,9% quand l'inflation augmentait de 6,54% sur la même période. Les fonctionnaires de l'Education nationale auraient donc considérablement perdu du pouvoir d'achat (-4,6 points). Mais ce ne sont pas eux les plus mal lotis. Les agents du ministère des Affaires étrangères, beaucoup moins nombreux (9.141 emplois en 2005), ont perdu 5,47% de rémunération moyenne sur la même période, soit 12 points de perte de pouvoir d'achat.

    Les ministères de l'Economie (+4,81% soit -1,7 de pouvoir d'achat), de l'Intérieur (+5,52% soit -1 de pouvoir d'achat) et de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Défense">la Défense</st1:PersonName> (+6,47%, soit -0,1 de pouvoir d'achat) ont vu, pour leur part, leur budget de personnel par agent augmenter moins vite que l'inflation. En revanche ceux de l'Agriculture (+6,83% soit +0,3 de pouvoir d'achat), de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Justice">la Justice</st1:PersonName> (+9,47%, soit +2,9 de pouvoir d'achat), mais surtout de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Culture">la Culture</st1:PersonName> (+12,5%, soit +6 de pouvoir d'achat) auraient selon notre mode de calcul profiter d'une hausse de leur pouvoir d'achat.

     

    http://www.journaldunet.com/economie/magazine/enquete/pouvoir-achat-fonctionnaires/3-pouvoir-achat-ministere.shtml


    votre commentaire
  • Non au déni de démocratie !

     

    Grand rassemblement populaire National

     

    Samedi 2 février à 14h30

     

    Halle Carpentier

    81 boulevard Massena

    Paris 13° - M° Porte d'Ivry

     

    http://www.nousvoulonsunreferendum.eu/index.php


    votre commentaire
  •  

    Réunion-débat à ASNIERES

     

    Mercredi 30 janvier 2008 à 20h15

     

    à l'Espace Francis Delage (anciennement Espace Concorde)

    27 rue de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Concorde">la Concorde</st1:PersonName>

    <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Concorde"></st1:PersonName>Asnières-sur-Seine

     

    Comité pour un Référendum des Hauts-de-Seine, Debout <st1:PersonName w:st="on" ProductID="La République">La République</st1:PersonName> et Mouvement Républicain et Citoyen.


    votre commentaire
  •  

    Apparenté Socialiste, radical, citoyen et divers gauche (12è circonscription du Nord), membre du MRC.

     

    M. le Président : La parole est à Monsieur Christian Hutin

    M. Christian Hutin : Permettez moi d'abord, Monsieur le Président, Madame <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Ministre" w:st="on">la Ministre</st1:PersonName>, Monsieur le Ministre, de recourir nuitamment à une citation latine, comme l'a fait cet après-midi un de nos collègues, certes plus éminent, plus ancien et plus expérimenté. « Primum non nocere », d'abord ne pas nuire, nous recommande le serment d'Hippocrate.
    A l'examen, ce texte révèle un certain nombre de nuisances, qu'un parlementaire a l'obligation morale et politique d'éviter, par respect de la démocratie, et même de <st1:PersonName ProductID="la République. Personnellement" w:st="on">la République. Personnellement</st1:PersonName>, je ne me reconnais pas le droit, ni même la légitimité, de revenir sur ce que le peuple souverain a décidé.

     

    http://www.chevenement.fr/Assemblee-nationale-intervention-de-Christian-Hutin-sur-le-traite-de-Lisbonne_a543.html?PHPSESSID=78c6de4dfd101fab7df331c8c0a09b73


    votre commentaire
  •  

    Le plan Amara laisse sceptique le géographe Christophe Guilluy, qui n'y voit que des logiques dépassées niant la crise des classes populaires.

     

    Marianne2.fr : Dans le cadre du plan « Espoirs banlieue » dont elle présentera les grandes lignes à Vaulx-en-Velin le 22 janvier, Fadela Amara, secrétaire d'Etat à <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Politique" w:st="on">la Politique</st1:PersonName> de la ville, compte notamment injecter un milliard d'euros dans 50 quartiers sensibles. Pensez-vous, comme Christine Boutin, ministre du Logement, que ce nouveau plan banlieue s'ajoutera aux autres sans effet ?
    Christophe Guilluy : Les deux discours continuent de développer la même logique de « concentration des problèmes » qui voudrait que, quoiqu'on fasse, le chômage, la précarité et les inégalités seraient enfermées dans les « zones sensibles » comme leurs habitants. Or c'est faux : entre 1990 et 1999, le taux de mobilité en Seine-Saint-Denis a été de 61% ! Le taux de chômage reste inchangé mais les habitants ne cessent de se renouveler dans les mêmes quartiers.

    Alors que les pouvoirs publics continuent de réfléchir en termes de cloisonnement, parlant de ghetto, d'assignation à résidence, etc., la principale évolution sociale de ces dernières années a été la dispersion des chômeurs, des précaires, des immigrés... de toutes les populations ! Ce phénomène est par ailleurs amplifié par un mouvement d'immigration qui modifie lourdement la structure démographique de <st1:PersonName ProductID="la France. Or" w:st="on">la France. Or</st1:PersonName> l'Etat refuse de voir qu'il y a une déconnexion totale entre les flux migratoires et le marché de l'emploi alors que, dans la plupart des « quartiers sensibles », c'est le noeud du problème qui mène à un embouteillage dans la recherche d'emploi et à la précarité. Plutôt que de traiter de ce vrai sujet, on préfère parler d'urbanisme ou de discrimination.

     

    http://www.marianne2.fr 

     

    [Merci à Nicole]


    votre commentaire