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Il défend comme il le peut les slogans du Président. Ça peut toujours servir !
<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>« Toutes ces mesures positives -du gouvernement - s'inscrivent pleinement dans notre philosophie du « travailler plus pour gagner plus ».
La Droite Américaine est heureuse !
Même Mme BETTENCOURT de L'OREAL les félicite !
267 millions d'Euros de ristournes fiscales ?
« J'en suis ravie. Je n'ai rien demandé !» dit la charmante Dame !
Vive le paquet fiscal !
Être Riche... Voilà leur solution !
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Le président Sarkozy se moque du monde. En faisant ratifier le traité de Lisbonne par la voie parlementaire, il a repris beaucoup plus que la partie institutionnelle de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Constitution">la Constitution</st1:PersonName> européenne. Si, par exemple, la «concurrence libre et non faussée» n'est plus un objectif de l'Union, elle reste, au terme du protocole n°6, un principe que <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Commission">la Commission</st1:PersonName> européenne est chargé de faire appliquer. De même un contrôle parlementaire limité au droit de saisine de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Cour">la Cour</st1:PersonName> de justice de l'union européenne n'est qu'un faux semblant de plus. Enfin l'OTAN consacrée comme cadre de la défense européenne, c'est l'Euramérique en marche, où <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName> disparaîtra.
Le président Sarkozy fait de grands moulinets verbaux : ainsi sur la monnaie, la politique commerciale ou industrielle, ou encore les dérives du capitalisme financier. Mais dès qu'il formule ses propos pour la présidence française de l'UE, il se garde bien d'aborder ces sujets qui fâchent. Il reprend des sujets rebattus (immigration, politique agricole, etc.). M. Sarkozy est un artiste dans la peinture en trompe l'œil. Mais les Français le jugeront et le jugent déjà sur les actes, et en particulier sur son incapacité à mettre en accord ceux-ci avec de tonitruantes proclamations.
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Nicolas Sarkozy en a fait son pont d'Arcole. "J'ai sauvé Alstom". Dans ses discours et livres (Témoignage), tout du long de la campagne électorale, lors de chacune de ses visites de sites industriels, le chef de l'Etat fait référence à cet épisode qui l'a vu en 2004, comme ministre de l'économie, faire accepter par Bruxelles un plan de recapitalisation de ce groupe<?xml:namespace prefix = v ns = "urn:schemas-microsoft-com:vml" /><v:shapetype id=_x0000_t75 path="m@4@5l@4@11@9@11@9@5xe" stroked="f" filled="f" o:preferrelative="t" o:spt="75" coordsize="21600,21600"> <v:stroke joinstyle="miter"></v:stroke><v:formulas><v:f eqn="if lineDrawn pixelLineWidth 0"></v:f><v:f eqn="sum @0 1 0"></v:f><v:f eqn="sum 0 0 @1"></v:f><v:f eqn="prod @2 1 2"></v:f><v:f eqn="prod @3 21600 pixelWidth"></v:f><v:f eqn="prod @3 21600 pixelHeight"></v:f><v:f eqn="sum @0 0 1"></v:f><v:f eqn="prod @6 1 2"></v:f><v:f eqn="prod @7 21600 pixelWidth"></v:f><v:f eqn="sum @8 21600 0"></v:f><v:f eqn="prod @7 21600 pixelHeight"></v:f><v:f eqn="sum @10 21600 0"></v:f></v:formulas><v:path o:connecttype="rect" gradientshapeok="t" o:extrusionok="f"></v:path><?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:lock aspectratio="t" v:ext="edit"></o:lock></v:shapetype><v:shape id=_x0000_i1025 style="WIDTH: 1.5pt; HEIGHT: 1.5pt" alt="" target="_blank" type="#_x0000_t75" o:button="t" href="http://pubs.lemonde.fr/5c/ZOP-LEMONDE/articles_analyses/exclu/922354260/x40/default/empty.gif/35306563326162383437393863353730"><v:imagedata src="file:///C:\DOCUME~1\jean-luc\LOCALS~1\Temp\msohtml1\01\clip_image001.gif" o:href="http://pubs.lemonde.fr/0/default/empty.gif"></v:imagedata></v:shape>
Le président a raison de se féliciter de ce fait d'armes. Alstom se porte aujourd'hui très bien. L'Etat qui a participé à ce sauvetage s'en porte lui aussi très bien, puisque les 725 millions injectés à l'époque au capital ont été revendus deux ans plus tard à Bouygues pour 2 milliards. Joli coup !
Le malheur pour le président est qu'aucun de ses conseillers n'ose lui expliquer que les conditions ont fait de ce sauvetage un cas exceptionnel et qu'il se fourvoie à en faire un cas général.
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Les Socialistes ont leur leader et leur programme !
A lire « Une autre ambition pour Courbevoie » ont comprend que rien ne les destine à exercer une quelconque responsabilité à Courbevoie !
Leur Vade-mecum « BOBO » est d'une platitude déconcertante. Il fait froid dans le dos.
Ils ont trahi JAURES !
Le PARTI SOCIALISTE de Courbevoie ? Meilleur allié de l'UMP !
Mais où sont donc passés tes socialistes, Ô COURBEVOIE ?
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S'il y a un sujet de conflit politique dont il faut se méfier, en France, c'est bien la laïcité. Certes, dans le flot des reproches adressés aujourd'hui à Nicolas Sarkozy, ceux qui concernent ses déclarations sur les religions - à Rome le 20 décembre 2007 et à Riyad il y a trois semaines - ne sont pas les plus sonores. On peut être tenté de voir, dans l'obstination du président de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la République" w:st="on">la République</st1:PersonName> à parler de la foi, une espèce de marotte personnelle dont il n'y aurait pas à se préoccuper, sauf à entrer dans son jeu, ce que personne ne souhaite. En ce moment moins que jamais. Et surtout pas sur une question de ce genre.
Car quelle peut être la traduction pratique de ses propos ? Réviser la loi de 1905 sur la séparation de l'Eglise et de l'Etat ? Dans son discours, au palais du Latran, à Rome, Nicolas Sarkozy a assuré vouloir en respecter "les grands équilibres". Quand on promet de ne pas modifier les grands équilibres, on a souvent en tête de s'attaquer aux petits. En l'occurrence, il s'agirait de permettre aux collectivités locales de financer la construction de lieux de culte.
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