•  

    CECCALDI RAYNAUD de Puteaux condamne l'urbanisme éhonté de Courbevoie !

     

    «Tout Puteaux n'est pas dans <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Défense">la Défense</st1:PersonName> et toute <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Défense">la Défense</st1:PersonName> n'est pas dans Puteaux ! Tandis qu'à Courbevoie, <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Défense">la Défense</st1:PersonName> a envahi toute la ville. »

     

    Qu'en pense son ami député maire UMP de Courbevoie ?

     

    Ceccaldi-Raynaud père, inamovible élu UMP du 9-2 depuis 1969, réfugié au Sénat puis au conseil général, a été mis en examen fin juillet 2007 par un juge d'instruction de Nanterre, Richard Pallain, pour favoritisme et corruption passive.


    votre commentaire
  •  

    Jean-Pierre Chevènement au rassemblement du CNR, samedi 2 février, Paris

     

    Nous sommes réunis ici pour défendre la souveraineté populaire. Celle-ci et la démocratie sont en effet une seule et même chose.

    Les parlementaires réunis à Versailles, après demain 4 février 2008, auront à répondre à une question simple : peuvent-ils désavouer le peuple qui s'est prononcé, le 29 mai 2005, à 55% contre le projet de constitution européenne ?

    Car il n'est pas vrai, comme l'a prétendu M. Sarkozy, que le traité de Lisbonne soit un traité « simplifié » et moins encore un « mini-traité ».

    Ce subterfuge ne peut tromper personne. M. Giscard d'Estaing n'a-t-il pas lui-même déclaré le 17 juillet 2007, devant le Parlement européen, que le traité de Lisbonne n'apportait que « des changements cosmétiques à <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Constitution" w:st="on">la Constitution</st1:PersonName> européenne pour qu'elle soit plus facile à avaler » ? En vérité, nos dirigeants se moquent du peuple.

    Alors, comment les représentants du peuple pourraient-ils couvrir une forfaiture par une autre ? Car ils auront à se prononcer lundi 4 février non sur le traité de Lisbonne mais sur une question préjudicielle : accepteront-ils la modification de la constitution qui rendra possible la ratification de Lisbonne par sa voie parlementaire ? Ils peuvent très bien mettre obstacle à ce déni de démocratie : il suffit que 2/5 des suffrages exprimés se prononcent contre le projet de révision constitutionnelle préalable. Cette minorité de blocage existe au sein du Congrès, pour peu que les parlementaires se souviennent des engagements qu'ils ont pris à travers les candidats qu'ils ont soutenus à l'élection présidentielle. Accepter la révision constitutionnelle préalable, ce serait pour le Parlement couvrir l'intention du Président de <st1:PersonName ProductID="la R←publique" w:st="on">la République</st1:PersonName> de s'asseoir sur le suffrage universel. Il piétinerait à son tour la démocratie et ajouterait une forfaiture à une autre forfaiture.

     

    http://www.chevenement.fr/Les-parlementaires-qui-diront-non-le-4-fevrier-a-Versailles-prendront-date-pour-l-avenir_a554.html?preaction=nl&id=3345999&idnl=31195&


    votre commentaire